Si les conditions d'exploitation de l'image sont contractuellement déterminées et limitées pour le bénéficiaire des autorisations ou licences d'utilisation et qu'il n'est normalement pas autorisé de faire usage, reproduire, exploiter, commercialiser l'image / les supports sans l'autorisation des ayant-droits, de l'auteur et de la personne représentée (voir sujet "Titulaires des droits"), cela ne signifie pas que l'image, les supports, les photos, les vidéos, les mises en scène sont "détruits" ou "disparaissent" à jamais après utilisation...
En effet, les personnes disposant des supports physiques ou électroniques sur lesquels l'image est reproduite, en particulier si elles les ont reçus ou en ont fait l'acquisition (articles, emballages, publicités, flyers, brochures, catalogues, magazines, livres, oeuvres d'art, vidéos, émissions télévisées, documentaires, séries, courts / moyens / longs métrages...) ont le droit de les posséder, de les conserver et sont toujours susceptibles, dans certaines mesures, d'en faire usage, de les partager, d'en faire la communication publique.
Citons quelques exemples :
Des tableaux photo peuvent toujours être exposés dans des lieux publics ou privés... Hall d'entrée, couloir, salon, salle d'exposition, bureau...
Des livres peuvent toujours être disponibles dans des médiathèques ou des bibliothèques privées ou publiques, comme dans des librairies, y compris de "seconde main".
Des photos ou des extraits vidéos peuvent toujours être reproduits sur divers médias, par la presse généraliste ou spécialisée.
Des publicités, des brochures, des magazines, peuvent toujours être conservés par des collectionneurs, qui peuvent d'ailleurs chercher à pratiquer des échanges, des reventes ou en faire l'acquisition.
Des "fans" sont susceptibles de reproduire des photos de leur modèle, mannequin, actrice favorite.
Si cela est inévitable : une fois que l'image a fait l'objet d'une utilisation, reproduction, diffusion, communication publique, il n'est plus possible de revenir en arrière, elle est toujours susceptible d'être partagée, reproduite, diffusée, communiquée... on peut le considérer comme une bonne chose. D'une part, cela témoigne de votre succès, de votre réussite, de l'admiration que l'on vous porte. D'autre part, il est toujours possible que vous perceviez des rémunérations pour vos droits, en fonction de ce qui a été négocié.
En ce sens, nous apportons notre concours pour le développement des carrières des Miss BCBG, dans tous les aspects qu'elles comprennent, étape par étape, contribuant à leur succès, à leur réussite, en privilégiant les opportunités les plus avantageuses pour elles.